Malgré la décision prise par le Conseil d’Etat français de suspendre l’arrêté anti-burkini de Villeneuve-Loubet qui fait jurisprudence, plusieurs maires ont fait savoir qu’ils n’allaient pas l’appliquer. Tandis que la commune de Nice explique qu’elle continuera à verbaliser tant que son arrêté n’est pas invalidé, le maire de Sisco en Haute-Corse assure que son « arrêté n’était pas de la prévention, je l’ai pris pour la sécurité des biens et personnes de ma commune, je risquais d’avoir des morts ! », en faisant référence à la rixe entre des Marocains de Furiani et des habitants de Sisco.
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